DOCUMENTAIRE, 50 mn, 1997
PRODUCTION PÉRIPHÉRIE, DIFFUSION PLANÈTE 1999
JE N'AI JAMAIS AIMÉ LA LITTÉRATURE POLICIÈRE, CE QUI M'INTÉRESSE C'EST LA LITTÉRATURE DÉLINQUANTE. JEAN-FRANÇOIS VILAR
RÉSUMÉ DU FILM
Jean-François Vilar pourrait se contenter d'être un fantastique raconteur d'histoires. Mais sa sensibilité le pousse à aller plus loin, à inciser les plaies d'un siècle où toutes les utopies auront été trahies, et à transmettre “ le choc des destins privés avec le fracas du monde ”. L'érudition n'est pas une coquetterie chez cet écrivain, mais une façon efficace de baliser son récit de points de repère ou de réflexion, ce qui ne l'empêche pas de pratiquer une littérature à hauteur de tripes. P. Drachline, le Monde des livres, 7 mai 1993
Portrait de l'homme et de l'écrivain, à travers la chronique d'une écriture en cours, en l'accompagnant là, où jour après jour, il construit son oeuvre. Paris où il écrit le plus souvent. Prague, qui l'inspire depuis toujours et où il a situé l'intrigue de son roman. Terezin, ville ghetto, ancien camp de concentration et antichambre d'Auschwitz, où est née l'envie d'écrire.
FICHE TECHNIQUE
JEAN-FRANÇOIS VILAR, 95% DE RÉEL . Un film de Pierre-André Sauvageot. Image : Joseph Brettrager. Son : Stéphane Kayler. Montage : Christine Monge. Musique originale : Serge Paget. Une production Périfilms. Avec le soutien de Périphérie / centre régional de création cinématographique / partenaire du Conseil Général de la Seine-Saint-Denis.